jeudi 16 octobre 2008

Nick Park - Wallace & Gromit - A Close Shave - Ma-Tvideo France2
Wallace et Gromit sont deux personnages de courts et longs métrages d'animation créés par Nick Park. Le studio Aardman Animations engagea Nick Park il y a 30 ans pour l'aider à monter et tourner ses films de Wallace et Gromit en échange de son savoir-faire pour d'autres films. Les courts métrages de Wallace et Gromit racontent les aventures rocambolesques d'un inventeur génial amateur de crackers et de fromage (Wallace) et de son chien intelligent (Gromit).



Tous les personnages sont en Plastiline (pâte à modeler non séchante ayant des propriétés étonnantes) et les scènes sont animées image par image (méthode nommée stop motion). Avec cette méthode, l'équipe de Nick Park parvient en moyenne à enregistrer 2 secondes de film en une journée de travail (pour 24 images/seconde). Leur succès donnera lieu à plusieurs suites, des publicités et un long métrage.



Souvent salués par la critique et récompensés (trois Oscars) pour leur inventivité et leur humour désopilant, ils ont su séduire le cœur de tous.

Sommaire






Rasé de près
Wallace et Gromit

Scénario : Bob Baker II et Nick Park
Production : Studios Aardman
Durée TV : 29 min

Le film

Le contexte

Rasé de près (1995) est le dernier volet d'une trilogie réalisée dans les studios Aardman ayant pour vedettes les personnages de l'inventeur Wallace et de son fidèle chien Gromit. Une grande excursion (1989) et Le Mauvais Pantalon (1993) l'ont précédé. Ce moyen métrage, devenu un classique du film d'animation, a obtenu de très nombreux prix.

L'histoire

Wallace et Gromit vivent heureux, comme la plupart des maîtres et de leurs chiens fidèles ! Le petit commerce de lavage de carreaux (« Wash'n'Go window cleaning service ») est en pleine expansion. Un intrus vaque en silence dans leur confortable foyer : c'est un petit mouton évadé d'une bétaillère. Il est affamé et dévore tout ce qui lui tombe sous les dents. Le duo de laveurs est convoqué pour laver la vitrine par Wendolene Cul-de-Bélier (« Ramsbottom »), propriétaire d'un magasin de laine. Elle ne manque pas de fournitures alors que sévit une pénurie en la matière ! Un journal s'alarme de la disparition de troupeaux entiers : un voleur sévirait dans la contrée !
Alors que sa maîtresse flirte avec Wallace, Preston, un dogue antipathique, sort du magasin et malmène Gromit, qui le soupçonne très rapidement de préparer quelque mauvaise action ! Wallace et Gromit découvrent leur foyer saccagé : Shaun, le petit mouton rongé par une faim de loup (!) l'a mis sens dessus dessous ; Wallace l'adopte. On le lave dans une partie d'une nouvelle machine à tricoter (« Knit-o-matic machine »).
Hélas, la chaîne s'emballe et Shaun parcourt le cycle complet. Il en ressort tondu, mais sa laine est devenue un charmant petit pull-over qui lui va comme un gant ! Preston espionne et vole les plans de l'invention. Gromit libère un troupeau de moutons capturés par le dogue. Ils se réfugient chez Wallace. Preston s'arrange pour piéger Gromit qui est arrêté, jugé et condamné à perpétuité. Il passe pour coupable alors qu'il venait de découvrir que Preston et Wendolene capturaient les moutons qui finissaient en pelotes de laine et en pâtée pour chien (« Preston Dog Food »). Gromit sera finalement libéré par Shaun, Wallace et le troupeau de réfugiés !
Il va leur falloir empêcher Preston et Wendolene de continuer à nuire. Wendolene, loin d'être la maîtresse qui dirigerait les opérations, apparaît comme l'« esclave » du dogue. Une course poursuite haletante et hilarante s'achève dans l'usine de Preston. Le dogue, qui a transformé la machine à tricoter en machine à broyer, est en fait un cyberchien créé par le père de Wendolene pour faire le bien (« created for good, he turned out evil ») ! Broyé par sa propre machine, il est raccourci et obéissant. Nos héros vivent avec le troupeau dans leur petite maison... Wendolene vient s'excuser et Preston, revu et corrigé, en laisse, se révèle désormais doux comme un agneau...

La démarche

Les personnages

Wallace et Gromit apparaissent aujourd'hui dans un spot publicitaire vantant les mérites d'une marque automobile ! Ils ne sont donc pas inconnus du grand public. Recensez tous les personnages du film : comment vous apparaissent-ils ? Quelles sont les qualités particulières dont Gromit fait montre dans cet épisode ? Décrivez les expressions de son « visage ». Wallace est défini par ses machines : y aurait-il intérêt du strict point de vue fictionnel à ce qu'elles fonctionnent correctement ? En quoi leur dysfonctionnement alimente-t-il le récit (péripéties) et en affecte-t-il le rythme ? Montrez en quoi l'art du modelage (visage) et des dialogues (en pointant également l'intonation de sa voix) participent de l'évolution du portrait de Wendolene. À propos de Preston, énoncer les caractéristiques de son état de robot : formes, matériaux divers, démarche, etc. Montrer que leur agencement fait de ce personnage une caricature de robot et de chien d'attaque à la fois. Recensez de la même manière les machines du film et définissez leur rôle dans la fiction.

Une vie de chien ! Au commencement, Gromit était un chat, mais dès le premier volet de la trilogie, son créateur l'a transformé en chien ! Un chien muet comme une carpe... et bien plus intelligent que son maître. Il contrôle finalement toutes les situations avec une détermination et un courage sans faille ! Il marche à quatre pattes ou se tient debout, lit le journal, conduit un side-car et pilote un avion, etc.

Vous avez dit maître ? Wallace est le maître de Gromit ; s'il paraît plutôt primaire, il est toutefois l'inventeur de machines complexes, dont la tricoteuse automatique « Wallace's Knit'o'matic ». Il ne saurait se passer de son fidèle compagnon qui lui sert de « chien à tout faire ». Dans cet épisode, le maître vient au secours du chien lorsqu'il est emprisonné ; il organise son évasion avec l'aide du troupeau réfugié dans sa maison. Il met du temps à réagir, se contentant d'abord de lire les articles des journaux relatant ses méfaits d'un air affligé (« Oh ! Gromit ») pour enfin verser une larme ! Wallace est un inventeur, mais ses inventions se déglinguent régulièrement !

Wendolene, la vieille fille, tient un commerce de laine dans une période de pénurie en la matière. Elle est troublée par sa rencontre avec Wallace, mais Preston, son chien, la surveille étroitement. Le montage la fait apparaître d'abord comme sa complice, mais la suite du récit modifiera cette vision et la présentera comme sa victime : comment, dès la première scène de rencontre avec Wallace, le spectateur est-il préparé à ce renversement ?
À chaque nouvelle rencontre avec Wallace, Wendolene apparaît sous un jour nouveau.

Preston est l'antithèse de Gromit ; le robuste dogue est l'âme damnée de Wendolene. La nuit, il capture des troupeaux de moutons, les tond et les transforme en nourriture pour chien. Gromit met à jour ses crimes et entreprend de l'attaquer. Acculé dans son usine, Preston est desquamé par la partie « machine à tondre » de son monstre mécanique, et son squelette d'acier nous le fait découvrir sous son vrai jour. Le dogue est un robot, un « cyberchien » créé par le père de Wendolene pour faire le bien mais qui a mal tourné (cf. synopsis). La partie « machine à équarrir » de l'installation achève le travail : le spectateur croit le robot démantelé, ses boulons allant emplir les boîtes de conserves sur la chaîne. Toutefois, il n'est plus tout à fait inopérant : il a été réduit à l'état de gentil « mouton » (il réapparaît dans la dernière partie tenu en laisse par Wendolene et obéissant à une télécommande).

« Fabrique moi un mouton ! », titre Brian Sibley dans L'Album de famille (p. 92, cf. « Pour en savoir plus ») : cela ne rappelle-t-il pas un mot d'auteur, un titre de conte ? Les moutons : Shaun, le frêle petit mouton bêlant et affamé s'échappe du camion de Preston et se réfugie chez nos deux héros. Il est bientôt rejoint par le reste du troupeau délivré par Gromit ; le troupeau envahit la maison et entoure Wallace alors séparé de Gromit. Le scénariste laisse planer une certaine ambiguïté : et si Shaun avait inspiré à Wallace le plan de l'évasion de Gromit ?
Les techniciens du studio Aardman ont fabriqué trois sortes de moutons : les « normaux », les cascadeurs et les petits gabarits. Shaun est un cascadeur : on le retrouve d'ailleurs dans « les situations les plus incongrues ». On notera également les différentes expressions de leurs « visages » : derrière Wallace qui pleure à la lecture du journal, sur la moto en acrobates...

Les machines meublent les décors du film : machine à réveiller et à habiller Wallace, à lancer le porridge, machine à laver les carreaux, machine à laver-tondre-tricoter (« Knit'o'matic »), enfin la même avec la variante à équarrir les gentils moutons ! Rasé de près expose une véritable galerie de machines baroques et vite infernales, préfigurant la somptueuse machine à tourtes du long métrage Chicken Run. Connaissez-vous un grand classique du cinéma muet qui dénonce le machinisme ? Qui en est le réalisateur ? Comment se prénomme le héros ?

De l'écrit sur l'écran

Énumérez toutes les mentions écrites lisibles tout au long du film. Quels sont leurs rôles ? Relevez les unes de journaux : sur quoi renseignent-elles ?

Les mentions écrites sont une des cinq substances de l'expression du signe cinématographique (rappelons les quatre premières : images mobiles, paroles, bruits, musique). Il y a de l'écrit sur l'écran : outre le titre et le générique, le film peut contenir des sous-titres (ce qui est le cas d'une VO sous-titrée), mais l'image peut également montrer des écrits (lettres, pages d'un livre, enseignes de magasin, panneaux, affiches, etc.).
Les images de Rasé de près comprennent des enseignes (celles de W&G, de Wendolene, de la « raison sociale » de Preston), un panneau d'appel à distance (dans la maison de W&G), une affichette (dans la boutique de Wendolene, l'avertissement concernant le rationnement des pelotes), des cartons sur les éléments des machines, un paquet de lessive, les étiquettes de boîtes de nourriture pour chien, la couverture du roman que lit Gromit en prison (Crime and Punishment by Fido Dogstoyevski [sic !], Fido pour Fédor, traduit en voix off par Médor), le couvercle de la boîte de puzzle, une page de calendrier, un panneau routier... Cette liste peut sembler un « inventaire à la Prévert » de tous les écrits sur l'écran. Elle est exceptionnelle dans un film si court, destiné en priorité au jeune public.
Les écrits qui nous semblent les plus importants sont surtout les unes de quotidiens (parfois bi ou tri-quotidiens) dont le récit filmique est ponctué. Ces titres renseignent Wallace et le troupeau mais également le spectateur sur les faits divers dramatiques. De quoi parlent-ils ? D'abord des vols et des tueries de moutons puis de l'arrestation, du procès et de l'incarcération de Gromit. Dans la version française, une voix off traduit ces unes :
Morning Post : WOOL SHORTAGE
The Telegruff : EVEN MORE SHEEP RUSTLING (sous-titre : This madness must end)
Daily Lamp-Post (jeu de mots) : KILLER DOG ON LOOSE
Evening Post : KILLER DOG GROMIT ARRESTED
Morning Post : SHEEP DOG TRIAL CONTINUES
Afternoon Post : "GROMIT BIT ME" SAYS SHEPHERD
Evening Post : GROMIT GETS LIFE

À partir du moment où Gromit est piégé puis arrêté, ces unes des journaux changent et rythment crescendo la montée de l'angoisse du maître et de ses protégés. On montrera que ces messages écrits participent d'une grande économie de moyens tout en restant dans la logique du récit (vraisemblance, suspense). On remarquera l'encadrement progressif de Wallace : seul devant le journal ouvert, puis en compagnie de Shaun, enfin entouré de l'ensemble du troupeau en pleurs. En quoi cela annonce-t-il le programme narratif qui s'ensuit, à savoir l'évasion ?
Quant à Gromit il savourera finalement sa liberté retrouvée en lisant le Daily Beagle qui titre alors : GROMIT EXONERATED ! Qu'est ce qu'un « beagle » ?

Ce dernier volet de la trilogie est d'une très grande complexité : personnages, intrigue, décors, machines préparent les fans des réalisations des studios Aardman au long métrage Chicken Run.

Les thèmes

L'art de l'animation

Les techniques de l'animation contemporaine sont multiples. On peut classer les procédés de fabrication en 3 grandes catégories :
- l'animation 2D dite « traditionnelle » parce que bi-dimentionnelle, les dessins étant exécutés à la main, et aujourd'hui sur ordinateur ;
- l'animation en volume, traditionnelle également parce qu'elle a existé dès les premiers temps du cinéma : marionnettes, poupées, fil(s) de fer, objets divers, pâte à modeler, etc. ; aujourd'hui, les personnages sont sculptés en plasticine ou plastiline (les anglo-saxons la nomment « claymation », de « clay » : pâte à modeler) ;
- l'animation 3D, tri-dimentionnelle, en images de synthèse.
Certains procédés sont mixtes : tels dessins exécutés à la main sont rehaussés sur ordinateur, les films d'animation de synthèse ne se passent pas de story-boards, etc. On ne peut donc plus parler de « dessins animés », tant les techniques sont variées : il convient de réserver cette appellation aux grands classiques tels que Le Roi et l'Oiseau (Paul Grimault) ou Blanche-Neige et les sept nains (Disney). Les personnages des films des studios Aardman sont réalisés en plasticine ; des squelettes articulés en métal permettent de structurer les différentes poses. Dans son ouvrage consacré à Wallace et Gromit, Brian Sibley consacre un chapitre entier à l'histoire de l'animation en volume (pages 15 à 61).

Les musiques de Rasé de près

Julian Nott, le compositeur attitré des studios Aardman a composé 25 morceaux et il lui a fallu écrire 1625 partitions « avec toutes les variantes possibles et imaginables pour chaque instrument » pour un orchestre de 65 musiciens ! Du grand cinéma ! (in W&G, l'album de famille, p. 184). Une des caractéristiques des musiques composées pour ce film est qu'elles surlignent l'action à l'image et parfois même sont calées sur les rythmes visuels (effet de « mickeymousing »). Elles sont qualifiées d'« empathiques » (du grec pathos, qui signifie « souffrance », au figuré « sentiment, passion »).
Une musique romantique accompagne, par exemple, la première rencontre de Wallace et de Wendolene, pastichant celle d'un mélo à la sauce hollywoodienne ; une musique héroïque (militaire) ponctue la poursuite infernale. On rapprochera cette dernière de celle de l'évasion dans Chicken Run. Comment prendre conscience du pouvoir d'un tel accompagnement musical de l'image ? Il suffit de couper le son : le spectateur mesurera l'effet (non) produit et, rétrospectivement, l'importance de la musique et la spécificité du contrat audiovisuel.
D'un autre côté, une musique qui contrasterait avec l'action est dite « anempathique » : le réalisateur par exemple place une marche funèbre sur une scène de mariage ! Quel effet cela produirait-il ?

Les bruitages

Adrian Rhodes, concepteur sonore, déclare : « Pour sonoriser le camion de Rasé..., dans un premier temps, j'ai synthétisé et assemblé différents bruits de camion dans le but de les moduler en fonction des images à la fin du tournage. Je produis absolument tous les sons du film, depuis le ronflement du moteur jusqu'au moindre bruit de pas, bruissement ou cliquetis d'un verre posé sur une table (...) Dans un film d'animation, il faut toujours bien garder à l'esprit que des sons trop réalistes peuvent heurter l'oreille et sembler déplacés (...) Du coup, un son trop vrai semblerait déplacé » (in W&G, l'album de famille, p. 182). Au cinéma, c'est avec du faux qu'on peut faire du vrai ! Tout film est une construction et l'objectif de l'analyse filmique consiste à le montrer.

Vous avez dit genre ?

Les hebdomadaires, comme par exemple La Semaine des spectacles, proposent un classement des films par genres ; on y classe certains comme des « comédies musicales » : le film Les Demoiselles de Rochefort est une comédie musicale. Toutefois, il n'est jamais question de tragédies (West Side Story) ou de mélodrames musicaux (Dancer in the dark). En approfondissant, la comédie musicale serait une sous-catégorie du « film musical ». S'il apparaît traditionnel de classer les films tels que Rasé de près ou Chicken Run dans une catégorie générique intitulée « animation », on peut légitimement se poser la question : cette dénomination suffit-elle ?
L'animation est, par tradition, considérée comme un « genre » en soi, elle rassemble pourtant, comme le genre « musical » plusieurs sous-catégories : fictionnelles (comédie, fable, conte, aventure, science-fiction, etc.) ou documentaires (historique, scientifique : Il était une fois la vie, par exemple).
À quelle(s) sous-catégorie(s) générique(s) le film Rasé de près appartient-il ? Comédie, aventure, policier ? Enfin, existe-t-il à l'époque contemporaine un genre « pur » ? Les techniques de mise(s) en scène(s) et de prises de vues suffisent-elles à définir un genre cinématographique ? Quelle est la place des contenus fictionnels dans une définition du genre ? En conclusion, Rasé de près ne réunit-il pas plusieurs sous-catégories génériques ? En quoi cette modalité de tissage, de mélange, est-elle essentiellement contemporaine (si nous voulons être plus précis, postmoderne) ?

Pastiche et parodie

Les thématiques développées dans Rasé de près : amour (la romance entre Wallace et Wendolene), science-fiction (Preston : un robot intelligent devenu autonome) et univers mécanisé (les machines) étant traités sur le mode de la dérision, ce film d'animation est-il un pastiche ou une parodie d'un certain cinéma ? Rappelons qu'un pastiche imite un style sur le mode ludique et qu'une parodie le transforme sur le même mode.

Le document

La musique de Wallace et Gromit

P

Pour en savoir plus

LORD Peter, SIBLEY Brian, Wallace & Gromit, l'album de famille, Hoëbeke (Paris), 1999.
SIBLEY Brian, Chicken Run, l'éclosion du film, La Martinière, 2000 (à consulter en bibliothèque).
Deux ouvrages (d'art) sur l'art de l'animation des studios Aardman pour les amateurs des coulisses des films.

CHION Michel, Le Son au cinéma, Cahiers du Cinéma, 1992.
CHION Michel, La Musique au cinéma. Fayard, 1995.
Deux ouvrages sur la bande sonore des films.

« Le cinéma d'animation », TDC n° 834, 15 avril 2002.
BENDAZZI Giannalberto, Le Film d'animation : du dessin animé à l'image de synthèse, La Pensée sauvage, JICA, 1985.
RAFFAELLI Luca, Les Âmes dessinées, du cartoon aux mangas, Dreamland, 1996 (à consulter en bibliothèque).

Le site officiel des studios Aardman qui ont produit les aventures de Wallace et Gromit.
www.aardman.com/
Pour se convaincre que Rasé de près est un très bon film d'animation, la liste des prix qu'il a reçus est pour le moins impressionnante.
www.geocities.com/Hollywood/
Une présentation de la trilogie de Wallace et Gromit, avec une critique tempérée du dernier film.
www.cine-courts.com/

Télédoc a déjà proposé un dossier sur Chicken Run, autre grande production animée réalisée par Nick Park et Peter Lord.

vendredi 10 octobre 2008

samedi 4 octobre 2008

Personnage

salut,

Voici les personnages !
Héros : Jason
Les Argonautes : Hercule, Hylas, Acaste
Les Ami(e)s : Phinée et Médée
Les Ennemis : Aétès et Pélias
Les Dieux : Zeus, Triton et Héra

A Bientot

de : Ema-Blue